all good things come to an end. il fallait bien que je vous le dise un jour. cet adieu virtuel. en fait depuis quelques temps je ne vis plus les minutes pour les raconter et y mettre des significations, du lyrisme et des tas d'esthétisme. et forcément, quand on ne vit plus par procuration, se raconter est un peu comme du temps perdu. bien sur, j'aurai pu vous apporter des choses, qui sait. mais je sais déjà qu'un conseil pur et simple, vaut des milliers d'article : soyez heureux et battez vous POUR la vie. croyez en vous. et n'oubliez de naître à chaque seconde. et tout ça, ça me prend trop de temps. j'ai tellement envie de donner qu'une présence virtuelle me semble dérisoire. pourtant, je sais que les votres m'ont beaucoup apportée : alix, carotte. de l'or derrière un écran. mais vous savez, il y a tellement d'autres mondes si proches de moi que je délaisse que ça me fait peur. et puis qu'ai-je à vous dire de moi, je suis heureuse. et alors. ça ne me sert ni à moi, ni à vous. la beauté est dans la vie, sortez au soleil et vous verrez. je ne perd pas le maniement des mots mais je les économise pour des lettres plus importantes, pour des circonstances. et je préfère plonger l'encre de mes idées dans des regards que dans un clavier. je ne sais pas si je dois m'excuser. je n'ai pas la prétention de me croire important dans des mots jetés sur un écran. en tout cas merci pour votre attention et votre capacité à ressentir avec moi. ce fut très important. mais je change de jour en jour, certains disent que je m'épanouie, mais je reste modeste. le chemin reste à parcourir. j'ai un pincement au coeur mais rien de grave. c'ets peut etre ça grandir, savoir dire adieu. entreprendre autre chose.
quant à moi [encore et toujours] mon avenir est incertain et pourtant je n'ai pas peur. trop de gens, de sourires, de minutes en jeu pour les sacrifier. vous allez me manquer mais j'ai trop regardé le mur l'an dernier pour rester sur cette chaise. je prendrais de vos nouvelles. mais je m'éloigne de la façade virtuelle. j'ai trop joué pour supporter de rester spectatrice.
A vous,
Au passé,
A la vie.
quant à moi [encore et toujours] mon avenir est incertain et pourtant je n'ai pas peur. trop de gens, de sourires, de minutes en jeu pour les sacrifier. vous allez me manquer mais j'ai trop regardé le mur l'an dernier pour rester sur cette chaise. je prendrais de vos nouvelles. mais je m'éloigne de la façade virtuelle. j'ai trop joué pour supporter de rester spectatrice.
A vous,
Au passé,
A la vie.
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